Mes expériences m’ont conduites à penser que les lumières que ces être diffusent est de la bioluminescence.
La bioluminescence est la production et l’émission de lumière par un organisme vivant résultant d’une réaction chimique au cours de laquelle l’énergie chimique est convertie en énergie lumineuse.
Ce qui pourrait répondre à la question de l’alimentation pour cette espèce.
Mes
recherches m’ont permise d’émettre l’hypothèse que cette espèce ne se
nourrie pas. Je m’explique, la nourriture à cette profondeur étant
quelque chose d’extrêmement rare et l’absence d’orifice, me conduisent à
penser que cette espèce est autosuffisante, elle n’a pas besoin de se
nourrir.
mardi 11 décembre 2012
Expérience
Le retour à la surface
Lors de mon retour à la surface, j’ai eu la surprise de voir une
sorte de transformation chez ces êtres, qui pourrait apparentée à une
cristallisation.
Par un incroyable procédé, ces gigantesques êtres se sont rétractés et se sont transformées en statues de verre.
En effet, suite à une analyse poussée, j’ai peu décelé que cette transformation est dût à l’atmosphère et à la pression atmosphérique. Ces êtres ne peuvent survivre que dans des milieu où il y a une pression relativement élevée.
Puis, suite à une batterie de test et à des expériences dans des chambres hyperbares. J’ai peu déduire que ces êtres ne sont viables qu’à des profondeurs comprises entre 13 000m et 15 000m de profondeur.
Autant vous dire que l’on ne peut croiser cette nouvelle espèce que dans un seul endroit: Challenger Deep.
Par un incroyable procédé, ces gigantesques êtres se sont rétractés et se sont transformées en statues de verre.
En effet, suite à une analyse poussée, j’ai peu décelé que cette transformation est dût à l’atmosphère et à la pression atmosphérique. Ces êtres ne peuvent survivre que dans des milieu où il y a une pression relativement élevée.
Puis, suite à une batterie de test et à des expériences dans des chambres hyperbares. J’ai peu déduire que ces êtres ne sont viables qu’à des profondeurs comprises entre 13 000m et 15 000m de profondeur.
Autant vous dire que l’on ne peut croiser cette nouvelle espèce que dans un seul endroit: Challenger Deep.
Grotte
Au détour de cette crevasse,je découvris une grotte dans laquelle
étaient prisonnière des bulles d’oxygène, qui m’offrit un spectacle
magnifique.
J’y découvris des centaines d’être de cette espèce, qui changeaient
de couleurs. J’en ai déduit que ces être avaient la capacité de changer
de couleur en fonction de l’environnement dans lequel ils sont exposés.
Ici, en présence d’oxygène ils arborent une couleur plus dorée.
Sur ce macro, on peut observer que cette colorisation naturelle, devient plus claire, la matière qui les constitue se révèle.
Ce n’est que plus tard, que je compris que ce que je venais de
découvrir était une sorte de cimetière et que ce qui était à mes pied
était le devenir de leur homologues aquatiques que j’ai croisé plus tôt.
La décoloration des couleurs froides qu’elles arborent, étant un signe
de fin de vie pour cette espèce.Observation 2
Lors de mon voyage, j’ai été aussi frappé par la découverte de tout un écosystème sauvegardé des ravages de l’espèce humaine. Je découvris tout une série de coraux et de coquillages qui avaient, la particularité, comme les Cténophores, de produire de la lumière, qui est produite par la réaction entre la lucifrine, molécule en abondance dans les abysses et la luciférase, élément constituant de ces fameux coraux et des coquillages des fonds marins.
Observation
Nous pouvons remarquer par cet agrandissement que ces organismes ne sont pas pleins comme nous pourrions le penser (ce qui pourrait expliquer leur résistance à cette profondeur).
Après les avoir brièvement observés dans leurs milieux naturels, on peut émettre l’hypothèse qu’ils se promèneraient au gré des courants. Mais, pour autant, ce qui frappe, c’est qu’on jurerait qu’ils vont là où ils veulent aller, sans avoir pour autant de dispositif moteur comme des nageoires, qui pourraient leur permettre de se déplacer.
Agrandissement
Nous ne disposons pas de beaucoup de représentations de ces gigantesques créatures comme de par leur taille. Par conséquent, nous avons dût choisir de faire beaucoup de cadrages rapprochés de leur anatomie afin essayer d’en savoir plus sur ces magnifiques créatures.
lundi 10 décembre 2012
Premier contact
Tout d’abord, je vais vous présenter ma première découverte lors de ce voyage que j’ai entrepris.
Une espèce qui pourrait s’apparentée à un Cténophore, mais qui vu que j’effectue leur première observation, n’ont pas de nom. Ce fût une incroyable surprise d’arriver face à ce mastodonte informe et coloré, d’environ 20 m de long. Ma mesure n’étant pas très précise utilisant la longueur de mon sous-marin comme référence pour établir cette mesure.
Un peu de culture, les cténophores ou « Cténaires » sont des organismes marins répertoriés comme étant carnivores et transparents.
Le début d'un long voyage
Mon voyage prend racine dans l’Océan Pacifique. Mon but était
d’explorer l’Everest des océans,au point 11°22′N 142°36′E j’ai nommé:
Challenger Deep. Le point le plus profond du monde, jamais exploré par
l’Homme.
Mon périple m’a fait descendre à une profondeur record, jamais enregistrée de 15 000 m au dessous de la surface de l’eau.
Or en 2003, un groupe de scientifique à estimé la profondeur du Challenger Deep à 11 000m, tout en reconnaissant que ce type de mesure restait beaucoup plus imprécise qu’une mesure effectuée depuis le fond de la fosse. Ce groupe nomma le point enregistré HMRG Deep (Hawaii Mapping Reserch Group).
Par conséquent, de part mon périple, je devins l’Homme qui descendis à la plus grande profondeur.
Mais passons, car cela n’est pas du tout l’objet de mon voyage à travers les eaux.
Mon périple m’a fait descendre à une profondeur record, jamais enregistrée de 15 000 m au dessous de la surface de l’eau.
Or en 2003, un groupe de scientifique à estimé la profondeur du Challenger Deep à 11 000m, tout en reconnaissant que ce type de mesure restait beaucoup plus imprécise qu’une mesure effectuée depuis le fond de la fosse. Ce groupe nomma le point enregistré HMRG Deep (Hawaii Mapping Reserch Group).
Par conséquent, de part mon périple, je devins l’Homme qui descendis à la plus grande profondeur.
Mais passons, car cela n’est pas du tout l’objet de mon voyage à travers les eaux.
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